samedi 4 octobre 2014

Suivez le festival Elektricity en direct !


Pendant une semaine, le blog « Libergier part en Live » va vous faire vivre
la 12e édition du festival Elektricity. Réalisé par des apprentis journalistes, élèves
de 1ère ES du lycée Libergier à Reims, ce blog va suivre au jour le jour l’actualité de ce grand rendez-vous musical automnal.

Interviews et photos des artistes, compte-rendus des soirées, toutes les infos exclusives sur Elektricity sont sur le blog « Libergier part en Live » !

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Ce blog est né en septembre 2012 à l'occasion des 10 ans d’Elektricity. La vie de ce blog s'est ensuite poursuivie l’année suivante. Il a été créé dans le cadre d’un partenariat entre le lycée Libergier et la salle de musiques actuelles La Cartonnerie, organisatrice du festival.



(de gauche à droite, de haut en bas) : Adela, Ugo, Marphy, Guillaume, Mathilde, Corentin, Fahd, Robin, Etienne, Pierre, Gwenaëlle, Florine (1), Nargisse, Linhui, Lucie, Perrine, Estelle, Clémence, Gizem, Kezban, Célia, Baya, Florine (2), Orlane, Thomas, Loanne, Fatma, Léa, Julia, Solène.

Jeudi à La Cartonnerie : les impressions de Linhui





La formation la plus captivante était Superdiscount 3. J'ai bien aimé le décor, avec le nom du groupe en grand sur la scène, et un jeu des lumières qui rend le public très actif. Le style de leur musique est électro. L'ambiance de la salle était très animée : on voyait même des personnes qui envoyaient des préservatifs gonflés vers le plafond !

Interview de Alb



Pourquoi avez-vous choisi « Alb » comme nom de scène ?

Mauvaise première question, on va dire que ça n’a pas grand intérêt, du coup je vais essayer de contourner en disant que finalement je l’ai gardé parce que ça a fini par me coller à la peau comme un prénom, c’est devenu un truc un petit peu générique. C’est parti d’une erreur de traduction, je voulais un truc qui soit court, qui soit facilement identifiable et qui commence par « a » avec une seule syllabe. Après la signification de « Alb » en anglais veut dire l’aube du prêtre, en arabe ça veut dire : le cœur, je crois. Et Alba, en Italien ça veut dire : Aube du jour. Donc ça n’a pas un grand intérêt mais je l’ai gardé et je m’amuse avec, par exemple : Amour les bains.

Quelles sont vos influences musicales ?


Elles sont très très larges, je ratisse dans tous les sens, que ce soit de la musique électronique à la pop des années 60. Je suis plus influencé par les sonorités que par les artistes. Mes sonorités me viennent des années 60 à nos jours. 


D’où vous vient votre passion pour l’électro pop ?

Je dirais au début des années 2000, quand j’ai commencé à faire des brocantes. C’est bizarre, parce qu’avant j’étais plus Rock et j’utilisais plutôt des guitares et quand j’ai commencé à faire un peu les brocantes avec ma copine, à l’époque, j’ai ramassé des orgues et des synthétiseurs, et bizarrement, je me suis mis à écouter la musique qui allait avec. J’ai un peu commencé à l’envers en fait, via les instruments. Et après j’ai découvert Air, tout ça, et la synthé, c’est trop bien ! Maintenant c’est devenu une vrai passion.


Être de Reims a-t-il été un atout ou une contrainte pour vous lancer dans la musique ?

Un petit peu des deux, en fonction des époques. Par rapport à l’émergence de notre scène rémoise et aux copains, chacun a un peu servi sa cause, mais on était tous en rapport les uns avec les autres. Je pense qu’au final on s’en fout d'où on vient. On voulait tous faire une musique qui a pour but de s’exporter. Je me rends compte que c’est assez local, c'est un peu avec la presse parisienne qu’on parle de Reims et de la scène rémoise. Parce que là je suis en tournée en ce moment et les gens ne savent pas que je viens de Reims, ils ne connaissent pas vraiment les projets de Reims non plus. Voilà c’est pas forcément un atout, c’est neutre, je pourrais venir de Nancy ce serait pareil, après je suis très content de venir de Reims hein !
Comment avez-vous réagi lorsque Peugeot vous a contacté pour l’une de ses publicités en 2012?
J’étais très content ! Ça m'a beaucoup plu. J’étais au Japon en pleine tournée avec Pierre et on allait passer sur scène, un éditeur m'a appelé et m'a dit: "Clément assieds-toi... et Peugeot tout ça... gros budget" etc. Et du coup j’étais très content, c’était la veille de ma rentrée en France après un mois de tournée. En plus je suis devenu papa 5 jours après donc c’était un bon moment, c’était parfait cette petite synchro avec Peugeot!

Comment vous sentez vous à quelques heures d’un concert à Reims et particulièrement sur le parvis de la cathédrale ?
J'ai passé 17 ans à Reims, maintenant je suis sur Paris. C’est beaucoup d’émotions justement parce que je suis parti. Quand il a été question de faire cette date sur le parvis au début de l’année, en janvier, je ne savais pas encore que j’allais partir de Reims cet été, et là maintenant ça sonne un peu comme un départ et une petite fête de départ donc ça ajoute pas mal de pression et d’émotions à l’ensemble. C’est à la fois un départ et un point de départ, il y a un côté consécration, et cela fait un moment que j’attends cette date sur le parvis, enfin! Avec tous les potes qui s'y succèdent au fur et à mesure, cette année c’est mon tour!

 



Jeudi à La Cartonnerie : les impressions de Gwenaelle

J’ai trouvé le concert de Fakear entraînant. Il a su faire danser le public et créer une ambiance conviviale. Un bémol cependant pour Fakear : ses morceaux se ressemblent parfois un peu trop. L’apparition d’une chanteuse a rendu la musique plus vivante et a donné un petit plus que le groupe suivant, Superdiscount 3, n’avait pas. Dans les titres de ces trois DJ, pas de mélodie mais un martèlement continu qui rendait leurs morceaux peu agréables à écouter. C’était un peu trop « sauvage » à mon goût ! 

Interview de Salut c’est cool

Comment vous viennent ces idées totalement barrées quand vous êtes en live, par exemple de faire des barbecues sur scène ?

Martin : On aimerait bien voir d’autres groupes faire ça, ce genre d’association barbecue/concert. Et puis comme les concerts sont souvent à l’heure du repas, on a un peu faim. Pour nous, c’est un moment convivial (rires).
Luis : On aime bien mélanger les choses, faire en sorte qu’à l’heure du repas on puisse danser aussi, c’est sympa ce genre de mélange.
         
Avez-vous déjà eu des problèmes en rapport avec vos délires sur scène ?

Martin : Oui, il nous est déjà arrivé de casser des scènes.. Trois ou quatre fois...(rires)
Luis : On s’est d’ailleurs fait un peu gronder... mais tendrement !
Martin : Ce n’était pas vraiment à cause de nous, c’est plutôt l’évènement qui a fait ça, le public sautait trop fort sur scène et ça a fait des trous…
Luis : A cause des circonstances, mais on les a cassées tendrement, donc on s’est fait gronder tendrement !

 

Le groupe Salut c'est cool.

 
Vous arrive-t-il de douter de votre santé mentale ?

Luis : C’est quoi le sentimental ?
Martin : Mais non, santé mentale ! Non, pas par rapport à ce que l’on fait  (rires)
Joseph : Non, on est droit dans nos bottes !
Martin : Bonne santé physique et mentale, enfin il me semble...
Joseph : Après on ne sait pas vraiment quand on est fou et on reconsidère les frontières de la folie… Et on n’a peut-être pas la même conception de la folie !
Martin : Pensons aussi que l’expression "c’est un truc de fou" s’est beaucoup généralisée,  redéfinissant la folie à un terme plus global…
Luis : On est très très sain.
 
Comment en êtes-vous arrivés là ?

Luis : On s’est rencontrés tous les quatre à l’école et on a été ensemble au collège, lycée, études supérieures…
Joseph : Du coup, on a eu envie de faire de la musique et on s’est lancé !


Et comment avez-vous eu envie de faire ce type de musique ?
Martin : C’est le genre de musique qu’on aime…
Joseph : De la musique qui tabasse ! (rires)


D’où l’explosion des scènes…
Luis : Oui, vu que c’est la musique qu’on aime, on a tout donné !
Martin : Et j’espère qu’on aimera toujours cette musique là !
Luis : C’est une musique qui permet de danser ensemble, de partager tout ça !

Vous savez qu’il y a des journalistes qui disent que vous faites revivre le punk à travers vos musiques.

Luis : Oui, on a lu ça.
Martin : Et toi, ça te parle le punk ?
(Pas de réponse de la part de Pierre, rire général)
Martin : Plus sérieusement, je ne pense pas que le punk soit vraiment mort...
Luis : Certes, il y a eu un âge d’or, mais le punk ne s’est pas éteint. Il a été plus généralisé. Aujourd’hui punk ça veut dire tout et n’importe quoi…
Martin : Mais on n’a pas la prétention de faire revivre le punk à travers nos musiques, on est plutôt disco.


Parlons avenir, où vous-voyez où dans cinq ans ? En studio ? De retour à la maison ?
 
Martin : Houlà, aucune idée !
Luis : Je ne sais pas.
Martin : Déjà, on ne sait pas où on en sera dans un an, alors dans cinq ans… D’ailleurs j’ai acheté une place pour une pièce de théâtre l’année prochaine et c’est totalement stupide parce que je ne sais pas où je serai. Alors me projeter dans cinq ans…
 
Qui est le taré qui s’occupe des clips ici ?
Salut c’est cool : Nous quatre ! On est tout les quatre tarés ! On fait tout ensemble: la musique, les clips, les poèmes.
D’où viennent les idées de vos morceaux ? Plutôt de projets sérieux ou de délires entre potes ?
Luis : On ne dissocie plus trop le sérieux du délire en fait.
Lakers : On part de projets sérieux mais qui nous font rire. En clair, on fait du rigolo sérieux.
Martin : Oui, on reste sérieux, mais tout en délirant.
Luis : Le sérieux et l’amusement ne sont pas indissociables, on en est la preuve même.


Comment le public réagit-il à vos lives ?
Joseph : Ça dépend, jusqu’à maintenant ça s’est bien passé.
Luis : Cet été, on a fait pas mal de concerts et à chaque fois on a eu un très bon accueil.
Martin : On a toujours eu de la chance, mais ça dépend, on prévoit les lives en fonction du public et de la salle dans laquelle on joue.

Qu’est-ce que vous vous dites quand vous regardez vos vieux concerts ? Lakers : Ça nous rappelle des souvenirs, des trucs qui se sont passés il y a longtemps…
Martin : Moi, je me trouve gros (rires)
Luis : Généralement, on ne regarde pas trop nos concerts. Si on va sur YouTube, c’est pour regarder d'autres groupes, pas nous-mêmes.


Vos parents sont au courant de vos activités ?
(rire général)
Luis : Le contraire serait difficile.
Martin : D’ailleurs, ils sont presque tous déjà venus à nos concerts… Presque. (les regards se tournent vers Lakers, rire général).

Si on vous dit jambon ?
Lakers : beurre.
Martin : (incrédule) Euh… pourquoi pas, enfin jambon, ok. Tu payes ?
Joseph : Cool.

vendredi 3 octobre 2014

Interview de Fakear

Quel rôle vos parents ont-ils joué dans le choix de ce métier ?

Ils sont profs de musique tous les deux donc... Je ne saurais pas dire si le métier que je fais maintenant je l’ai vraiment choisi... Mais j’ai mis toutes les chances de mon coté pour que cela marche. Effectivement mes parents m’ont appris à lire et à faire la musique autant qu’à lire et à compter. Ce sont eux qui ont posé toutes les bases et qui m’ont appris la musique. Ils m’ont lancé sur ce terrain là. 
Comment passe-t-on du rock a l’électro ?
J'en avais marre des groupes de rock et des conflits d’égo. Quand tu commences à jouer dans un groupe et que tu dois toujours te déplacer chez les autres, faire une heure de bus, trimbaler ton ampli avec ta guitare. Et cela deux à trois fois par semaine. Au bout d’un moment, c’est un peu pesant. Après, il y a aussi le fait de vouloir s’exprimer librement, entièrement et construire son univers musical à soi. Je suis passé a l’électro parce que j’ai découvert comment on pouvait faire de la musique sur ordinateur, tout seul. J’ai découvert des artistes et des groupes comme Radiohead ou Bonobo. Des musiciens qui font le pont entre l’acoustique et l’électronique. Je suis passé par eux pour faire de l’électro.

Vos voyages ont-ils influencé votre musique ?
Ils m’ont donné des sensations plus que des images. Au final, je n’ai pas du tout voyager dans les pays qui sont concernés par mes musiques. Quand tu pars en voyage, tu ne te poses pas les mêmes questions que dans la vie de tous les jours. Tu reviens à des trucs de base : où tu vas dormir, ce que tu vas manger. Alors qu'habituellement, tu te soucies plus de tes habits, avec qui tu vas traîner ce jour-là ou ce que tu vas mettre comme photo de profil Facebook. Donc mes voyages m’ont aidé à me souvenir de ce qui était vraiment important. Ils m'aident à me remettre dans ces sensations là.


Quelles sont les émotions que vous souhaitez faire passer à travers vos musiques ?
Un peu toutes les émotions, c’est ça le défi. Quand tu es triste, certains morceaux vont te rendre heureux. Quand tu es content, ils vont te rendre un peu mélancolique.  J’essaye de faire en sorte que mes morceaux soient écoutables dans toutes les situations et qu’ils puissent te communiquer l’émotion dont tu as envie. Quand j'écris, j'essaie alors de créer les émotions les plus brutes et les plus pures possibles.

Avez-vous un rêve en tant qu’artiste ?

Mon rêve en tant qu’artiste est de faire du bien aux gens avec ma musique. Que cela les mette bien. C'est ça mon plus beau rêve.
Que pensez-vous du festival Elektricity ?
Je n’y suis jamais allé auparavant mais je trouve que l’affiche est super jolie. Et graphiquement, elle est super classe. Et puis tous les noms programmés, ce sont soit des potes, soit des groupes que j’écoute. Donc je trouve que ce festival est cool. Comme je viens d’arriver,  je vais découvrir petit à petit Elektricity et La Cartonnerie.
Quels sont vos projets dans les mois a venir ?
La semaine prochaine, je pars a New York pour trois jours. Je ne vais pas trop avoir le temps de découvrir la ville. Après, ma tournée continue, principalement en France et je vais essayer d’aller un peu en Europe aussi. Et puis, je prépare mon album. C’est beaucoup de boulot. J'ai trop de projets en même temps. Disons que mon projet principal pour les trois mois à venir, c’est de trouver des moments pour dormir !

Jeudi à La Cartonnerie : les impressions de Guillaume


A la veille du premier parvis, la Cartonnerie offrait à ses spectateurs une soirée sous ambiance électrique. La chaleur a atteint son maximum grâce à l'énergie de la foule en délire ! Sans oublier le jeu de lumières hypnotisant qui envoutait toutes les personnes présentes et des vibrations qui auraient même fait danser toutes les statues de la cité des Sacres. Mais on n'a pas vu Salut C'est Cool et ça, c'est pas vraiment cool :(

Mercredi à La Cartonnerie : les impressions de Perrine, Estelle et Clémence

   

Composé de deux musiciens, Oceaàn est un groupe qui a du pep's sur scène. Avec ses musiques pop love, le duo anglais a mis une bonne ambiance malgré un public réduit. Les deux musiciens étaient assez statiques, assis derrière leurs instruments, une batterie électronique et un synthétiseur. Mais ils étaient habillés avec un certain style. Cool et swag.
Le décor était assez original. En arrière plan de la scène, un écran projetait des vidéos sur chaque morceau. Au fil du concert, le son transmettait son énergie à la salle et au public.


Les deux musiciens de Oceaàn.

Interview Fred Gien / Arcade Maniac


Pourriez-vous nous présenter le projet « Arcade Maniac » et d’où vient son nom ?
Ce projet est né d’une passion pour les jeux vidéo que j’ai avec un autre ami. Celui-ci est plus Atari et moi Nintendo. Comme les bornes d'arcade ne sont quasiment plus utilisées aujourd’hui, on s’est dit que cela pourrait être rigolo de les retaper et de proposer un concept. De réaliser une vraie immersion complète dans l’univers du jeu et dans une époque qui va de 1979 à 1987.

Avez-vous déjà installé des bornes arcades dans d’autres établissements ?
Le projet « Arcade Maniac » est itinérant. Il se ballade de festivals en événements privés. L’objectif est d’apporter cet univers du jeu vidéo pendant quelques jours. Comme là à Elektricity où le public peut s’immerger pendant toute la durée du festival.
Qu’est-ce qui vous passionne dans ce travail ?

Déjà, ce travail n'est pas vraiment un travail. Ce qui est vachement bien. A la base, je travaille dans la musique et comme c’est un secteur en crise, je me suis dit : "Qu’est-ce que je vais pouvoir faire et qui me passionne autant que la musique?". Les jeux vidéos sont une bonne solution. C'est dans l'ère du temps. Surtout quand on voit Claire Chazal qui parle dans son journal télé. Avec des sujets sur les Game Boy ou sur d'autres jeux ou consoles.
Quels sont vos jeux favoris ?
J’adore le jeu « Sega Rally », que je trouve énorme. Il y a aussi le jeu « The House Of The Dead », où on tue des zombies avec un pistolet, qui est plutôt assez sympathique.

« Arcade Maniac » vous permet-il de garder un lien avec votre enfance ?
Carrément, ça me permet de garder ce lien avec mon enfance et de le transmettre et partager surtout. C’est  vraiment génial,  sur ce type d’événement on voit un public qui a de 14 à 50-60 ans. Donc des gens qui se souviennent et qui n’ont pas forcément joué à l’époque mais qui reviennent jouer aux jeux électroniques en se disant « tiens ça va me rappeler des sensations ».

Pourquoi les bornes d'arcade sont elles encore populaires alors que celles-ci ont été remplacées par des consoles plus modernes ?
Les bornes d'arcades symbolisent une époque. Aujourd’hui, nous sommes dans un festival de musique électronique et il y a des liens avec la culture des années 1980, les jeux vidéos, la musique, la mode ou le graphisme. Ensuite, je crois qu’aujourd’hui le gameur moderne est quelqu’un qui joue plutôt tout seul chez lui alors que la borne d’arcade est plus convivial. On peut y jouer parfois à plusieurs. C'est un élément plus sociabilisant que le jeu en réseau, où certains peuvent tout seul avec leur casque pendant huit heures. Avec les bornes d'arcade, on joue avec des potes, chacun son tour, on crie, on se moque les uns des autres. Au final, on vit ensemble et on joue ensemble.
Quels sont les jeux les plus prisés par le public ?

Cela dépend vraiment du public. Aujourd’hui, les gameurs de consoles modernes vont plutôt jouer à « The House Of The Dead »s ou à des jeux un peu plus récents, des années 2000. Après, certaines personnes vont préférer aller jouer à des jeux plus classiques comme « Space Invader » ou « Pacman ». Ce sont des jeux très basiques, pour lesquels on n’a pas besoin pas connaître le mode d’emploi !



Fred Gien, responsable du projet Arcade Maniac.

Fred Gien en pleine action sur la borne d'arcade Pacman.